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dc.contributor.authorSalhi, Mohamed-
dc.contributor.otherBachar Assed, Mohamed Aguide, Directeur de thèse-
dc.date.accessioned2020-12-27T14:10:45Z-
dc.date.available2020-12-27T14:10:45Z-
dc.date.issued1993-
dc.identifier.otherM001493-
dc.identifier.urihttp://repository.enp.edu.dz/xmlui/handle/123456789/3071-
dc.descriptionMémoire de Magister: Génie Minier: Alger, Ecole Nationale Polytechnique: 1993fr_FR
dc.description.abstractL'intérêt accordé aux matériaux de construction relève d'une demande supérieure à l'offre. Cette inadéquation trouve son origine à travers un retard dû à un outil de production non encore maîtrisé et à un volume de construction considérable en matière d'habitat. Nous nous intéresserons dans ce contexte à la production de ciment gris appelé dans le commerce CPA (Ciment Portland Artificiel). En effet, la production nationale installée à ce jour et répartie à travers 12 cimenteries, est de 12 Mt/an environ. Malheureusement, la réalité est tout autre car la production arrive difficilement à 8 MT soit 66 % environ alors que les besoins sont estimés à 10 Mt, la différence (2 MT) est importée. Ce bref constat nous conduit paradoxalement à voir "défiler" devant nous 2 MT normalement exportables alors qu'on assiste à l'effet inverse. Ceci dit, il reste néanmoins à réguler les besoins en matière d'habitat, domaine difficilement maitrisable où l'on assiste à l'amélioration progressive du niveau de vie et à un taux de croissance démographique qui défie le planificateur. Ces deux facteurs ne peuvent s'accommoder si le second ne se plie pas aux exigences du premier, lequel à son tour, devra déboucher sur une meilleure production, c'est-à-dire atteindre au moins les 80 % et couvrir ainsi les besoins nationaux actuels sans avoir recours à l'importation. Nous avons tenu à souligner ce rapport niveau de vie/production combien significatif car jusqu'en 1965 alors qu'il était insignifiant, l'Algérie, avec une production de près d'un million de T/an, était alors un pays exportateur de ciment à partir de trois unités seulement, travaillant à voie humide qu'était Meftah (remplacée à partir de 1976 par la cimenterie actuelle) et que sont encore Rais Hamidou (ex. Pointe Pescade) à Alger, et Zahana (Mascara) totalisant à cette époque une production installée de 3 x 400.000 tonnes/an. Si les besoins en matière de construction "en dur" ne sont pas aussi cruciaux au sud du pays et les capacités des cimenteries projetées sont de l'ordre de 150.000 à 300.000 t/an selon les régions, donc sensiblement inférieures à celles du Nord, il n'en demeure pas moins qu'il y a urgence dans le domaine.fr_FR
dc.language.isofrfr_FR
dc.subjectGéologie des gisementsfr_FR
dc.subjectGéologie Sahariennefr_FR
dc.subjectGisement de calcairefr_FR
dc.subjectCiment -- Fabricationfr_FR
dc.titleMéthodologie d'exploitation des matières premières à ciment dans le sud Algérienfr_FR
dc.title.alternativecas de la future cimenterie d'El - Abiod - Sidi - Cheikh (Wilaya d'El - bayadh)fr_FR
dc.typeThesisfr_FR
Collection(s) :Département Génie Minier

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