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Ce projet de fin d'études porte sur la régénération de la diatomite algérienne, un matériau adsorbant, en explorant deux méthodes principales. La méthode chimique, impliquant des solutions chimiques pour éliminer les contaminants, n'a pas donné les résultats escomptés. En revanche, la méthode thermique, consistant à chauffer la diatomite à différentes températures, a montré une efficacité notable, particulièrement autour de 600°C, pour restaurer sa capacité d'adsorption. La régénération thermique s'est révélée plus efficace que la méthode chimique. Parallèlement, un modèle de simulation utilisant des réseaux de neurones artificiels a été développé pour prédire les performances de la diatomite. Ce modèle, entraîné avec des données expérimentales, s'est avéré performant pour simuler les conditions d'adsorption, offrant ainsi un outil précieux pour optimiser les processus futurs. |
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