Abstract:
Le monde actuel se caractérise par une consommation excessive en matière d’énergie.
Les nouvelles politiques d’économie d’énergie sont induites par l’épuisement de certaines ressources, et par des considérations économiques et géopolitiques imposées par le souci de préservation de l’environnement.
L’empreinte écologique et le bilan carbone permettent d’évaluer les contributions de pays dans la dégradation de l’environnement puisqu’elles traduisent de manière claire l’impact des activités humaines sur les écosystèmes et la planète.
Cette modeste contribution a pour but d’expliciter ces deux concepts que sont l’empreinte écologique et le bilan carbone, et également de présenter un logiciel de calcul, à même de déterminer l’impact de chaque activité, afin de pouvoir ensuite agir directement sur les secteurs les plus énergivores.
Ainsi donc, ce rapport a pour but, à travers cinq parties, de mettre en évidence et en chiffres, l’impact du développement humain sut l’environnement :
Dans une première partie nous passerons en revue les différentes formes d’énergie utilisées en excès, celles que l’on devrait utiliser d’avantage par simple respect à la planète.
Dans une deuxième partie seront examinées les énergies utilisées en excès, à savoir les énergies non renouvelables.
Ces énergies dont la consommation s’accroît très rapidement, dont la répartition est inégale, et dont les impacts sur l’environnement sont devenus une réalité avérée.
Dans la troisième partie nous aborderons, l’empreinte écologique, notion nouvelle qui consiste en une estimation de la surface nécessaire pour produire les ressources dont chacun de nous a besoin et celle nécessaire absorber les déchets que nous produisons.
L’empreinte écologique est à comparer à la bio capacité de la Terre - la capacité de la nature à nous fournir des ressources et à digérer nos rejets- exprimée aussi en gha.
Un déficit écologique apparaît lorsque l’empreinte écologique d’une région définie est supérieure à la biocapacité correspondante.
Le bilan carbone, comme autre indicateur, est présenté dans une quatrième partie.
Ce bilan comptable permet d’estimer l’accroissement constant des gaz à effet de serre dans l’atmosphère.
Dans la dernière partie seront développées les méthodes de calcul pour les deux notions déroulées tout au long de cette présentation, avec des applications pour différentes entités.
