dc.contributor.author |
Mezaguer Ep. Lekouaghet, Meriem |
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dc.contributor.other |
Lounici, Hakim, Directeur de thèse |
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dc.contributor.other |
Nour-El-Hayat, Directeur de thèse |
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dc.date.accessioned |
2020-12-17T12:47:35Z |
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dc.date.available |
2020-12-17T12:47:35Z |
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dc.date.issued |
2010 |
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dc.identifier.other |
M004210 |
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dc.identifier.uri |
http://repository.enp.edu.dz/xmlui/handle/123456789/812 |
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dc.description |
Mémoire de Magister : Génie de l'Environnement : Alger, Ecole Nationale Polytechnique : 2010 |
fr_FR |
dc.description.abstract |
Les effluents liquides radioactifs issus de l’industrie nucléaire posent un problème pour l’environnement, ils doivent donc être purifiés de leurs radioisotopes et des métaux qu’ils contiennent avant d’être rejetés dans la nature.
Les biosorbants organiques, issues de déchets des industries, telle que l’industrie pharmaceutique ont de bonnes capacités d’adsorption des métaux.
C’est le cas de certains champignons, comme Pleurotus mutilus, qui est en fin de cycle de production des antibiotiques.
Après la caractérisation physico-chimique et structurale de ce champignon, les essais d’adsorption de l’uranium, à partir d’une solution aqueuse, sont réalisés en réacteur agité. L’optimisation des conditions expérimentales a montré que le taux maximal d’adsorption de l’uranium est de 636.9 mg d’U/g de biomasse.
Cette valeur est obtenue pour un pH de la solution de 5, une granulométrie de la biomasse de 250-315 .m, une vitesse d’agitation de 315 tr/min et une température de 25°C.
Les essais de fixation de l’uranium à partir d’un lixiviat uranifère réel ont montré une adsorption d’uranium quasi-totale (soit plus de 99% des 500 mg/l présents dans le lixiviat) sur cette biomasse.
Cette adsorption est accompagnée d’une adsorption partielle de quelques éléments présents dans le lixiviat (cuivre, potassium et soufre), et par un relargage d’éléments présents dans la structure de la biomasse, tels que, le sodium, l’aluminium, la silice et le phosphore.
Pleurotus mutilus peut être un bon biosorbant pour la purification des rejets liquides contenant de l’uranium et autres métaux toxiques.
Après une brève introduction, nous présentons dans la première partie une étude bibliographique exhaustive.
Dans la deuxième partie, nous décrivons:
- la préparation et les caractéristiques complètes de notre biomasse.
- une optimisation des conditions de biosorption (pH, granulométrie, température, vitesse d’agitation et concentration en uranium).
Cette étape se fait avec une solution synthétique d’uranium.
- Une étude de la modélisation de l’isotherme et de la cinétique d’adsorption.
- Détermination du mécanisme responsable de cette biosorption.
- Une étude de biosorption d’un lixiviat uranifère sur Pleurotus mutilus.
Enfin une conclusion sur l’étude menée. |
fr_FR |
dc.language.iso |
fr |
fr_FR |
dc.publisher |
Ecole nationale polytechnique |
fr_FR |
dc.relation.ispartofseries |
Génie de l'Environnement; |
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dc.subject |
Biosorption |
fr_FR |
dc.subject |
Uranium |
fr_FR |
dc.subject |
Pleurotus mutillus |
fr_FR |
dc.title |
Séparation d'un lixiviat uranifère sur une biomasse de type : pleurotus mutilus |
fr_FR |
dc.type |
Thesis |
fr_FR |