Abstract:
Dans un souci permanent de protéger l'environnement dans lequel nous vivons.
Nous nous devons de trouver un moyen d'élimination peu onéreux de substances nocives telles que, le cadmium et le nickel contenus dans les eaux rejetées par les industries.
C'est dans cet esprit que nous nous sommes penchés sur l'utilisation d'une biomasse morte à savoir la streptomyces rimosus pour le traitement des eaux faiblement chargées en métaux lourds.
Notre recherche a pour but d'une part de valoriser un produit secondaire (la biomasse) issu d'un processus industriel de fabrication des antibiotiques et d'autre part d'apporter notre pierre à cet immense chantier de la protection de l'environnement et ce, en tentant à notre niveau d'identifier les différents facteurs qui influencent la capacité de biosorption du cadmium et du nickel, par cette biomasse prise sous deux états différents brut et activé.
La biosorption du mélange du cadmium et du nickel a aussi été étudiée.
